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Biographie

Je suis Paul Cassan

Cet univers très singulier que l’on retrouve jusque dans sa voix résulte d’un rapport viscéral à la musique, presque biographique, où la chanson forme un fil rouge qui le rattache à ses origines. A l’évasion, à l’imaginaire. A la voiture de son père. Aux couloirs de son école de musique où il apprenait le saxophone et où, pour la première fois, à 6 ans, il avait entendu les notes d’une chorale vers laquelle il s’était immédiatement rué. A ces moments de primaire et de collège où la musique était non seulement une échappatoire mais plus encore un soutien : les chansons de Brel, Aznavour, Jonas qu’il y apprenait constituaient alors pour lui des amis imaginaires et mélodiques qui le suivaient de partout, comme un parfum rassurant qui flotte autour de soi. Plus tard, la musique est devenu un projet, fomenté au cours de ses nuits adolescentes, les écouteurs aux oreilles : celui d’être lui aussi dans celles d’un autre jeune un jour. Et son projet musical a débuté alors, en sourdine. Il a chanté, à toute heure, en tout temps, et jamais ce réflexe ne l’a d’ailleurs quitté. Oh, certes, le temps a passé : les vertiges lycéens et la volonté de rassurer un peu les parents l’ont embarqué ailleurs. Il a bricolé : un peu de médecine, beaucoup de littérature, des tentatives pour s’épanouir de-ci, de-là, en histoire, en philosophie, en psychologie mais ce rêve, tournoyant, toujours est demeuré. Et ce rapport viscéral, authentique, instinctif presque, se retrouve dans sa musique. Qui est une musique des émotions, du lâcher-prise, de l’enfance.

Il a fallu un déclic pour qu’il se décide à reprendre pleinement son enfance en main ; qu’il se retrouve devant une classe d’élèves, complètement perdu. Il chantait le soir pour se réconforter, enseignait la journée. Il fallait que cela cesse : désormais, il reprendrait son enfance en main. A 27 ans, il a donc perfectionné son niveau en guitare et en piano. A 28, il a commencé les concours de chant, les scènes ouvertes. En a raté certains, gagné d’autres, a continué, a composé, a écrit, s’est produit sur toutes les scènes possibles. Après avoir été repéré par Mister Mat à Voiron, avoir participé et gagné une émission télé (le Bingue Show), il a fini par être repéré par Bruno Berberes, à 29 ans, pour intégrer les rangs de la prestigieuse école du Dalida Institute. C’est un an après, qu’il poursuit donc son cheminement artistique et souhaite proposer sa musique au plus grand nombre.

Désormais, il travaille sa direction artistique, et un répertoire, dans lequel on reconnaît les airs des auteurs-compositeurs qui constituent ses références et parmi lesquels figurent en première place les grands paroliers de la tradition française. Cet univers singulier fait que l’on peut y sentir traîner, de manière lancinante, au-delà des mélodies pop modernes qui constituent son ADN, quelque chose qui nous revient d’un autre temps. Quoiqu’il appartienne à cette lignée des artistes inclassables, on peut le rapprocher de chanteurs comme Arthur Teboul, Vincent Delerm ou Benjamin Biolay. Mais avec une voix beaucoup plus aérienne. Et un engagement beaucoup plus théâtral.

Vous pourrez le retrouver sur les scènes des café-concerts, des scènes ouvertes, des concours parisiens. Dans la rue également, en premières parties, enfin partout où il pourra vous présenter sa musique. Son objectif étant in fine de signer dans une maison qui pourra le soutenir, et qui lui permettra de sortir sa musique en Singles, Eps, et albums. Et qui lui permettra de se présenter sur des scènes de plus en plus grandes.

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